L’architecture devait également composer avec les contraintes du lieu : préserver les éléments patrimoniaux – fresques, moulures – tout en répondant aux normes d’accessibilité et de sécurité propres à un ERP accueillant des femmes et des enfants.
Chaque espace devait avoir une fonction claire : protéger, apaiser, permettre l’intimité ou encourager le dialogue, dans un équilibre entre exigence technique et attention humaine. Le projet Pass’r’elles se situe ainsi entre mémoire et renouveau, et les propositions étudiantes ont su traduire cette tension entre fragilité et force, entre protection et réinvention.